Au 21e Siècle, la sexualité a brisé tous les tabous. L’être humain est allé à la découverte profonde de son corps en recherchant toujours plus d’intensité dans l’acte sexuel. Il faut dire que certains individus s’adonnent à des expériences intimes de toutes sortes. Parmi elles, il y en a qui sont carrément qualifiés de non conventionnelles. Vous vous demandez ce que c’est concrètement ? Voici l’explication que ressort ce concept.
Qu’est-ce qu’une pratique sexuelle non conventionnelle ?
Selon une définition classique, une pratique sexuelle est une activité mettant en relation deux individus, notamment un homme et une femme. Ce procédé implique le contact de deux corps dans une passion et une fougue émotionnelle. Il appelle au coït de deux organes dans le but de se donner du plaisir mutuellement.
Aujourd’hui, on assiste à une diversité de pratiques intimes dont certains vont à des extrêmes inimaginables. Elles sont alors qualifiées de non conventionnelles. Par exemple, lors d’une rencontre bdsm, il est question d’une intimité qui implique un type de sexualité qui ne peut être révélé au grand jour. Les protagonistes peuvent avoir recours à des punitions plus ou moins intenses avec divers objets. Au risque donc de choquer des consciences, ces pratiques doivent rester secrètes ou tout au moins privées. Ce sont :
- le fétichisme,
- la domination,
- la soumission,
- le sado masochisme, etc.
Les activités intimes non conventionnelles sont alors réservées à un cercle restreint d’initiés. Ils se recentrent dans des lieux spécifiques pour prendre du bon temps.
Qui est-ce qui qualifie ces pratiques sexuelles de non conventionnelles ?
Le but est toujours de protéger les personnes par des règles qui respectent les normes sociales élémentaires. Cette expression est souvent utilisée sur plusieurs plans.
Selon la loi
Dans leur recherche de bien-être, les individus ont toujours repoussé les limites de plus en plus loin. Toutefois, l’opinion populaire n’est souvent pas prête à accepter toutes ces sortes de choses. L’éthique et les valeurs sont bien respectées dans les normes de la conscience collective. Pour veiller à maintenir cet équilibre entre les besoins humains et les barrières à ne pas dépasser, le contrat social a mis en place des textes légaux. Dans le cadre de la sexualité, ces dispositions sont encore plus contrôlées.
Toute pratique intime qui ne respecte pas ces normes est qualifiée de non conventionnelle selon la loi et l’éthique. Toute exposition publique de ces pratiques est donc passible de sanctions pouvant entraîner de lourdes amendes à une peine plus sévères.
Sur le plan audiovisuel
La révolution numérique influence grandement plusieurs domaines. Le système de régulation dans le secteur audiovisuel a été mis en alerte pour contrôler la diffusion des fichiers à obédience intimes non conventionnelle. Internet et les réseaux sociaux ont fait passer les moyens de transmission à un niveau très élevé. Depuis lors, toute vidéo à caractère sexuel doit être gravée d’un avertissement. Il s’agit de la mention « réservée au moins de 18 ans ».
Elles ne peuvent pas aussi être vues à la télévision ou sur des sites anarchiquement. Les types d’images qui font intervenir les menstrues de la femme ou tout autre liquide à caractère intime sont totalement proscrits.
En somme, les pratiques sexuelles sont traitées de non conventionnelles quand elles sont susceptibles de choquer l’opinion publique. Ces activités existent de plusieurs sortes, mais ils doivent rester privés.